Véritable bête de scène, le boyfriend de Kylie Jenner signe son album le plus abouti, grâce notamment à un casting XXL. Au sommet des charts, cinq mois après sa sortie!
En plus de signer «l'album rap de l'année» d'après lui, Pusha T a ridiculisé Drake et signé l'une des pochettes les plus controversées de 2018.
La nouvelle reine du hip-hop a battu tous les records en 2018, jusqu'à reléguer Nicki Minaj au rôle de simple figurante dans le paysage...
Impossible de ne pas faire figurer un artiste de TDE, le label de Kendrick Lamar dans un tel classement. Cette année, la star, c'est Jay Rock.
Véritable phénomène critique, prisé pour sa créativité, le rappeur californien poursuit sur sa lancée avec une ode à Los Angeles. Court mais intense, divertissant mais intelligent.
Pop/R'nB
Les femmes au pouvoir
Des airs d'Amy Winehouse, un talent et une versatilité unique, la Colombienne a fait sensation avec un album qui a marqué les esprits.
Un style, une voix et une élégance so british. La nouvelle reine de la soul a 21 ans. Elle s'appelle Jorja Smith.
Autre symbole d'une scène britannique en ébullition, Tirzah est la révélation de l'année.
Passée par de nombreux drames, de l'attentat de Manchester en 2017 à la mort de son ex, Mac Miller, cette année, Ariana Grande a réalisé le meilleur album de sa carrière.
Ses larmes à Coachella ont fait frémir les fans. À l'image de ce (court) projet rempli d'émotion et centré sur le spleen amoureux de la star canadienne.
Indie/Rock
Le retour des cadors
Brillant, mélancolique, esthétique de bout en bout. Beach House a sorti l'un des plus grands albums de cette année.
Le groupe de Brooklyn se la joue 80's pour un retour marquant et réussi.
Les Britanniques font office de poids lourd dans le rock actuel. Après six années d'absence, leur retour en a déconcerté certains... et permis de conquérir de nouveaux fans.
Le huitième album de groupe anglais s'est révélé comme une belle surprise de la rentrée de septembre.
Les rockeurs de Bristol se sont offert un retour aussi explosif que convaincant.
Darude, 42 ans, est l'auteur de «Sandstorm», un des morceaux les plus célèbres de la musique électronique. Ce titre, sorti en 1999 et écoulé à 2 millions d'exemplaires, a changé la vie de l'artiste qui était devenu «en deux semaines» une superstar. Il l'est toujours. Rien d'étonnant à cela, son hymne est encore joué chaque jour des milliers de fois en club et dans des événements sportifs du monde entier. [embedded content] Darude «Sandstorm» Pour vice.com, le DJ est revenu sur la création de son tube. Le reportage vidéo, riche en images d'archives, est superintéressant, tant Darude se livre sans détour. Il nous apprend notamment qu'il a gardé son single durant deux ans dans ses tiroirs parce qu'il ne savait pas comment le terminer. Et, pourquoi il l'a appelé «Sandstorm» (tempête de sable en français). [embedded content] The Story of «Sandstorm» by Darude ( L'essentiel /jde)</a> 0 Commentaires Vous venez de publier un commentair...
En 2017, en Ukraine, le concours Eurovision de la chanson était présenté par trois hommes. En 2018, l'organisation a choisi quatre femmes pour animer la soirée qui se déroulera à Lisbonne. Leur nom a été révélé lundi. Le palmarès de l'Eurovision 2017, en images Si trois d'entre elles ne sont pas forcément connues en dehors du Portugal, la quatrième, en revanche, est une star internationale, puisqu'il s'agit de Daniela Ruah, l'une des actrices de la série «NCIS: Los Angeles». Elle incarne l'agent Kensi Blye dans le feuilleton de CBS . Daniela Ruah est née aux États-Unis. Américaine, elle possède également la nationalité portugaise. C'est dans ce pays européen, dans lequel elle a vécu de ses 5 à ses 18 ans, qu'elle a commencé sa carrière d'actrice après avoir passé son bac en Angleterre. Elle a notamment joué dans la telenovela «Filha do Mar» et remporté la première saison de «Danse avec les stars» au Portugal. Le soir du 12 mai, l'actri...
«L’essentiel»: Quand as-tu débuté dans le rap? Bazooka Brooze: J’étais en classe sportive puis, à 16 ans, je suis allé au Lycée de Belval. J’y ai rencontré Djingiz Kaan, qui m’a inspiré, et convaincu de rapper en luxembourgeois. Quelles sont tes influences principales? Eminem et 50 Cent au départ, puis le rap allemand, RAF Camora, Bushido, Sido. Mais aussi le rap français, néerlandais. Je n’ai pas de barrières. J’aime les images, le fait de pouvoir passer d’un univers gangster à celui de lover. Comment s’effectue le choix de tes beats? Je fonctionne à l’instinct. Je les trouve sur YouTube, si besoin je les achète, comme pour «Chu an da Hood». Je collabore aussi régulièrement avec Prodgregster38 et Nibobeatz. Quel regard portes-tu sur la scène luxembourgeoise? Au début, je disais oui à chaque collaboration. Avec Bandana, on se connaît et on devait bosser ensemble. En tout cas, je suis au top, le meilleur. Et je suis celui qui exportera le rap luxembourgeois. Peux-tu nous parl...
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