«Luxembourg, on se rencontre enfin!» lançait Aya Nakamura à ses fans, mardi soir. Tout est allé si vite pour la chanteuse française de 24 ans qu'elle avait oublié être venue jouer six mois plus tôt dans le Club de la Rockhal. Mais avec cette tournée des grandes salles, dont la Rockhal constituait la huitième étape, la Parisienne est passée dans une autre dimension. Show à l'américaine, musiciens, choristes et danseurs, Aya Nakamura arrivait en doudoune sur scène, qu'elle allait vite laisser tomber pour arborer une tenue jaune digne de celle d'Uma Thurman dans «Kill Bill». Cheveux au vent, voix puissante et danses sexy, elle dégageait un charisme indéniable, appuyé par les cris de fans très jeunes. « Je ne suis ni une caricature, ni un exemple » La chanteuse née à Bamako, au Mali, faisait honneur à ses racines africaines, que ce soit à travers les rythmes ou sur un titre posé comme «Oumou Sangaré». Les extraits de son premier opus «Journal Intime», comme «Oublier» o
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