«L’essentiel»: Quand as-tu débuté dans le rap? Bazooka Brooze: J’étais en classe sportive puis, à 16 ans, je suis allé au Lycée de Belval. J’y ai rencontré Djingiz Kaan, qui m’a inspiré, et convaincu de rapper en luxembourgeois. Quelles sont tes influences principales? Eminem et 50 Cent au départ, puis le rap allemand, RAF Camora, Bushido, Sido. Mais aussi le rap français, néerlandais. Je n’ai pas de barrières. J’aime les images, le fait de pouvoir passer d’un univers gangster à celui de lover. Comment s’effectue le choix de tes beats? Je fonctionne à l’instinct. Je les trouve sur YouTube, si besoin je les achète, comme pour «Chu an da Hood». Je collabore aussi régulièrement avec Prodgregster38 et Nibobeatz. Quel regard portes-tu sur la scène luxembourgeoise? Au début, je disais oui à chaque collaboration. Avec Bandana, on se connaît et on devait bosser ensemble. En tout cas, je suis au top, le meilleur. Et je suis celui qui exportera le rap luxembourgeois. Peux-tu nous parl...
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