Marina Kaye - «Il faut savoir prendre des risques sur un 2e disque»
La Française de 19 ans avait marqué les esprits avec son 1er disque, «Fearless». Sa voix surpuissante en avait bluffé plus d'un, à tel point qu'on comparait Marina Kaye à Sia, qui lui avait d'ailleurs écrit un titre. Deux ans plus tard, revoici Marina avec sa 2e galette.
Marina Kaye en démonstration vocaleY avait-il de la pression après le succès de «Fearless»?
Oui. A un moment donné, je me suis dit: «Merde, est-ce que je peux faire mieux que je ce que j'ai déjà fait? Est-ce que je suis à la hauteur?» Ce n'était pas facile à gérer au quotidien. Après, ma vie a toujours été compliquée (rires)!
Vous dites qu'un 1er album doit être beau, le 2e audacieux.
Oui, parce qu'il faut savoir prendre des risques sur un 2e disque. Là, je me suis risquée à chanter en français, à faire une reprise et à avoir plus de fantaisie, comme sur «Armour» avec ses touches electro. On verra bien si ces risques paieront. Il faut toutefois rester conscient de ses capacités et ne pas faire n'importe quoi. Je ne ferai jamais de rap.
Parlez-nous de «Vivre», titre en français avec Soprano.
C'était une évidence qu'il soit dessus. Je me suis mise au défi de le faire en français pour voir si j'en étais capable. Et il ne fallait pas que ça sonne variété. Avec du recul, honnêtement, c'est plus facile de chanter et d'écrire en anglais.
Pourquoi avez-vous dit que «Something» a été le titre le plus compliqué à écrire?
De coutume, je me livre à 100%, sans filtre avec franchise. Là, je l'ai fait à 600%. Je parle d'un vide ressenti en 2016. J'étais paumée, j'avais envie de sortir et de faire des expériences les plus poussées possibles. J'ai filé du mauvais coton et j'ai fait du mal à des gens qui m'aiment. Ce titre est ma rédemption.
(L'essentiel/Fabien Eckert)</a>
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