Nouvel album - Noel Gallagher sort de sa zone de confort
Les Gallagher sont loin d’avoir dit leur dernier mot. Si leur hypothétique réconciliation, tout comme une reformation fantasmée d’Oasis, a longtemps alimenté les potins et les forums de fans, c’est finalement sur le terrain musical que la fratrie la plus célèbre de Manchester a fait son grand retour à l’automne dernier. Avec, en ce qui concerne Noel, un nouvel album paru en novembre, «Who Built the Moon?». Et avec ce troisième opus, l’aîné des frères Gallagher sortait de sa zone de confort, pour s’aventurer sur les terres du rock psyché.
La raison de ce virage artistique? Une étroite collaboration avec le producteur britannique David Holmes, qui s’est distingué dans la sphère électronique et a composé plusieurs bandes originales pour Steven Soderbergh, aux manettes de ce nouveau disque en solo. En solo, ou plutôt en compagnie de son groupe formé en 2010, les High Flying Birds, au sein duquel figurent également Mike Rowe, Chris Sharrock et Gem Archer, des anciens membres de la légendaire formation anglaise.
Noel Gallagher a conçu ce troisième album dans la lignée du précédent, «Chasing Yesterday». Un disque qu’il avait lui-même produit. Mais «Who Built the Moon?» opère une vraie mutation dans la discographie de celui qui a composé des hits intemporels comme «Don’t Look Back In Anger» ou «Wonderwall». Ici, les cuivres chauffent, les claviers s’en donnent à cœur joie, le rock sonne et les chœurs résonnent. Un cocktail qui prendra encore une autre dimension sur scène, où la star de 50 ans devrait également nous réserver quelques reprises d’Oasis.
• Noel Gallagher’s High Flying Birds. Vendredi, 20 h, à la Rockhal, à Esch-Belval. Entrée: 44 euros.
(Cédric Botzung/L'essentiel)</a>
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