Concert au Luxembourg - The Avener en dealer de vibes festives
«J'ai envie de fédérer davantage, de gommer la frontière entre musique commerciale et underground», nous expliquait la veille de son set The Avener, à propos de son second album à venir. Acteur majeur de la nouvelle scène house «made in France», le Niçois offre pourtant une house qui ouvre déjà grand les portes aux autres musiques, par le biais de voix venues de divers horizons, et surtout à travers ses fameux «reworks», sur lesquels il cuisine d'autres morceaux à sa sauce.
Trois ans après la tournée «Flash Deep», The Avener était de retour au Luxembourg, vendredi soir. Peu après 23h, le DJ prenait place derrière platines et machines, dans un Atelier qui revêtait pour l'occasion des airs de club. Acclamé par le public, le Français de 31 ans offrait une entame de set groovy, se déhanchant derrière ses platines. Il ne fallait pas longtemps pour qu'il envoie quelques-uns de ses imparables reworks, comme «To Let Myself Go» ou «Lonely Boy», sans oublier l'incontournable «Fade Out Lines».
Loin de se cantonner à la house, The Avener intégrait des éléments pop, folk, afro ou R'nB à son set, et glissait à l'occasion un classique intemporel («Everybody's Got to Learn Sometime» des Korgis). Le Français en profitait également pour tester de nouveaux titres, qui figureront sur son second album. Mais, comme annoncé, son set était plus festif et électro que ses live. Ce qui n'était définitivement pas pour déplaire aux 800 fans dansant et transpirant sur les sons et beats envoyés par ce prince de la house.
(Cédric Botzung/L'essentiel)</a>
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