Concert au Luxembourg - Le show de Petit Biscuit s'est «américanisé»
L’essentiel: Votre album est sorti en novembre dernier. Êtes-vous satisfait de l’accueil reçu?
Petit Biscuit : Oui, je suis très satisfait. Le but était de montrer que je me diversifiais dans les différents styles électroniques, et que je pouvais proposer un univers qui aille au-delà d’un titre.
Il y a un véritable équilibre entre vos différentes influences. Le souhaitiez-vous?
J’ai envie de faire de la musique qui soit différente à chaque morceau. L’équilibre se fait assez naturellement, je n’y réfléchis pas vraiment.
On sent que vous l’avez conçu comme un voyage.
Pour moi, c’était très important que l’album raconte une histoire, qu’il y ait un début et une fin. C’est ainsi que j’ai conçu la tracklist.
Votre façon de composer a-t-elle évolué au fil des mois?
Elle a beaucoup évolué, aussi bien techniquement que moralement. Techniquement, j’ai pu avoir du matériel différent, et moralement, j’ai commencé à faire des choses différentes, à écrire des paroles, à chanter. J’explore encore, j’adore ça, donc elle continuera à évoluer.
Comment se font les collaborations, vous les choisissez ou elles vous sont proposées?
On m’en a proposées, mais la plupart du temps, ça a échoué. Les artistes que l’on retrouve sur l’album sont ceux que j’ai repérés par moi-même. J’ai un feeling pour ça, je sens si ça va passer. Ça se joue au coup de cœur.
Vous avez dévoilé un inédit avec Bigflo & Oli («Demain»). Pouvez-vous nous en parler?
C’est un coup de cœur, à la fois musical et humain. Je les connais depuis pas mal de temps, et on s’est vus sur plusieurs dates. Je leur avais fait écouter une prod sur laquelle ils ont accroché.
Vous étiez venu en à la Rockhal mars 2017. Votre live show a dû évoluer.
Oui, il a beaucoup évolué. C’est plus dynamique, «américanisé», au fil des tournées que j’ai faites.
De très gros festivals sont prévus cet été, des dates aux États-Unis, au Canada, en Australie. On vous imagine impatient?
Ce n’est pas la première fois que je vais jouer aux États-Unis, mais je suis très impatient d’y retourner. C’est un public en or. L’Australie, ce sera la première fois, j’ai hâte. Je tourne beaucoup, mais je choisis moi-même mes dates.
(Recueilli par Cédric Botzung/ L'essentiel)</a>
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