Concert au Luxembourg - Un show haut en couleur pour Shaka Ponk
Les médecins qui le suivent doivent parfois s'arracher les cheveux. Après une intro musicale et visuelle plutôt costaude, on apercevait Frah danser et onduler de façon sexy sur place sur «Killing Hallelujah», pendant que sa collègue Sam déboulait sur l'avancée de scène. Mais le chanteur de Shaka Ponk, victime d'une chute il y a quelques mois l'ayant contraint à reporter plusieurs shows dont celui de la Rockhal, glissait avant la fin du morceau dans la foule pour se faire porter et hisser.
Si le leader du groupe de rock français s'avouait légèrement plus en retenue qu'à l'accoutumée, l'énergie déployée était fidèle à la réputation de la formation. Dès les premières notes d'«On Fire» puis le hit «Wanna Get Free», c'était le feu. Avec son refrain aux allures d'hymne, «I'm Picky» confirmait être l'un morceaux les plus efficaces de Shaka Ponk.
5 000 fans et un monde imaginaire
Le maître de cérémonie prenait ensuite son temps pour organiser un «circle pit» autour de lui. Un échauffement idéal pour lancer la reprise de «Smells Like Teen Spirit», avec Sam et Frah se répondant de part et d'autres de la salle où quelques 5 000 fans ne cachaient pas leur plaisir.
Au sujet des installations visuelles, Frah avait évoqué un «monde imaginaire». Il est vrai que les animations en 3D en fond, nombreuses et variées, se confondaient de manière bluffante avec la scène. Shaka Ponk envoyait du lourd, avec un son rock et synthétique très propre. Frah s'égosillait comme si sa dernière heure était arrivée, et s'excusait même de s'être «cassé le cou».
Plus amazone que jamais, Frah arborait, elle, une impressionnante crête d'Iroquois. Une histoire de cheveux, décidément.
(L'essentiel/Cédric Botzung)
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