Concert au Luxembourg - Les Pixies ont su lâcher les chevaux à Luxexpo
Les Pixies sont de retour, et pour de bon. Il y a trente ans, le groupe de Boston sortait ce qui allait devenir un véritable classique du rock indépendant, l'album «Doolittle». Ce second opus était bien sûr à l'honneur jeudi soir avec des titres incontournables «Here Comes Your Man» ou «Monkey Gone to Heaven».
Après une reformation en 2004 qui faisait suite à dix ans de break, le groupe emmené par Frank Black est récemment passé à la vitesse supérieure, avec un septième album paru en septembre dernier, «Beneath the Eyrie», plus inspiré que les deux précédents essais. Mêlant un rock qui envoit du bois à un sens mélodique propre aux Américains, ce disque était illustré par «Ready For Love», «Silver Bullet», aux accents irlandais ou l'enlevé «On Graveyard Hill».
Mode punk
Homme de l'ombre, Frank Black débutait le set dans le noir. Le chateur/guitariste était épaulé par Paz Lenchantin, la bassiste qui a succédé à Kim Deal, par David Lovering à la batterie, et par Joey Santiago, à la guitare. Le son était lourd et sec, et les Pixies enchaînaient leurs titres en mode punk, souvent courts et percutants. Ce diable de Black Francis a toujours du coffre, et il avait à cœur d'en profiter ses fans.
Mais les Pixies seduisaient tout autant sur leurs morceaux atmosphériques, sur lesquels la basse de Paz répondait aux riffs de Joey, comme «Caribou» ou encore le classique «Where Is My Mind». Fidèle à leur habitude, ils proposaient une setlist inédite. L'énergie, en revanche, restait la même.
(Cédric Botzung/L'essentiel)
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