Concert au Luxembourg - «Nous n'essayons pas d'imiter Dire Straits»
«L'essentiel»: Vous aviez fondé The Straits avec Alan Clark et Phil Palmer à l'occasion d'un concert de charité. L'aventure s'est poursuivie…
The Dire Straits ExperienceCe vendredi, 20h, à la Rockhal, à Esch-Belval. Entrée de 43 à 60 euros.
Chris White: Oui, peu de temps après la fin de l'aventure The Straits, nous avons formé The Dire Straits Experience. Avec le chanteur Terrence Reis, nous souhaitions prolonger l'expérience.
Pouvez-vous nous parler des musiciens du groupe?
Nous avons Chris Whitten, qui a joué avec Dire Straits ou Paul McCartney, Danny Schogger aux claviers, qui a beaucoup produit, notamment George Michael. Le line-up varie en fonction des concerts, mais cette année, c'était souvent le même groupe. C'est génial, car nous pouvons inclure d'autres titres de Dire Straits.
Comment expliquez-vous le succès des tribute bands?
Nous sommes différents des autres. Nous n'essayons pas d'imiter Dire Straits ni de jouer de la même façon chaque soir. Nous essayons de garder cela frais pour le public et pour nous. Et le succès est grandissant à travers le monde. C'est un hommage à leurs chansons fantastiques.
Vous avez joué avec Dire Straits sur les deux dernières tournées. Quels souvenirs en gardez-vous?
J'avais collaboré avec Mark Knopfler au début des années 80, et il m'a proposé en 1984 de rejoindre le groupe sur le «Brothers in Arms Tour». L'album a connu un immense succès à travers le monde. C'était fabuleux. Et le jouer sur scène était une expérience vraiment incroyable.
(Recueilli par Cédric Botzung/L'essentiel)
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