Dadju - Ce challenger est paré pour exploser les chiffres
Le petit frère de Gims est définitivement sorti de l'ombre de son illustre aîné. Fort du succès de son premier disque «Gentleman 2.0» (2017), Dadju, 28 ans, confirme avec son double album. Il l'a évoqué il y a quelques semaines, avant le confinement, à Genève.
De la pression après le carton de votre premier album?
Je déteste me mettre la pression quand il s'agit de musique. Il faut d'abord la créer et qu'elle soit bonne. Dès que je tiens la musique, le côté business arrive. C'est là qu'on réfléchit et qu'on ressent de la pression. Je suis un challenger, j'ai envie d'exploser tous les chiffres et je veux surtout tenir sur la longueur.
C'était prémédité de sortir un double album?
Pas du tout, je détestais ce genre de formats. J'y ai trouvé une utilité parce que j'ai pu mettre plus de titres et que c'était plus facile de les publier sur deux albums séparés. Les gens se concentrent mieux avec deux fois 14 morceaux qu'une seule fois 28. Mon seul regret est de ne pas avoir sorti trois albums de neufs titres. J'adore ce concept de liberté.
Comment choisir un single avec autant de titres en stock?
J'ai galéré. Tu hésites soit parce que tu n'as pas de hits ou parce que tu ne sais pas avec lequel commencer. Reste que c'était évident de sortir «Compliqué» en premier. Il est difficile à chanter, c'est de la performance, il y a du flow, un style et une histoire. Ce titre est le résumé de qui est Dadju.
Votre envie de bosser avec Céline Dion, ça en est où?
Je suis toujours à la recherche de son numéro. Je finirai par le trouver et je sens que je m'en rapproche. D'ailleurs, j'ai parlé très récemment avec Jean-Jacques Goldman (ndlr: il a composé pour la star), ), un grand monsieur que je respecte beaucoup. Le simple fait de la rencontrer me ferait déjà très plaisir.
(L'essentiel)
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